Depuis l’enfance j’ai fait beaucoup de sport en compétition. Vers mes 18/19 ans je ne supportais plus l’hyper-compétitivité et l’atmosphère féroce qu’elle créait, et j’ai donc arrêté le lancer de javelot en compétition, pour passer à une pratique occasionnelle du tennis. Au bout de 3 ans, cela est devenu répétitif et ennuyeux, j’ai donc décidé de me lancer dans les arts martiaux. J’ai été particulièrement attirée par le kendo, à cause de l’usage du sabre, et de ses connexions très étroites avec la culture japonaise. Ces deux caractéristiques semblaient faire du kendo une activité harmonieuse présentant un équilibre entre physique et mental.